Journaliste: Teresa Vu Rédacteur: Cyril Hong
Le film, qui relate une histoire originale, se focalise sur l’ennemi juré de Batman. Il brosse le portrait d’Arthur Fleck, un homme méprisé par la société. Arthur Fleck souffrait de troubles mentaux, avec une condition particulière quand il rit de façon incontrôlable dans des situations sérieuses. Sans médicament et sans ressource, il plonge dans une folie meurtrière incontrôlable.
Le film, Joker, laisse des empreintes dans votre esprit parce qu’il a mis les gens mal à l’aise à tel que les gens ont dû quitter le théâtre. Quand le cinéma provoque une émotion aussi forte dans le public, il dépasse le divertissement et devient une oeuvre d’art. Il s’agit d’un film violent: très sombre.
Au coeur, on retrouve un personnage psychopathe déconcertant. Joaquin Phoenix fait un Joker absolument parfait: sa démarche, son corps décharné, sa voix et son rire qui nous donne des frissons. Il est hypnotisant et abominable.
Les créateurs ont trouvé de bonnes idées qui ont transformé ce personnage de l’univers de DC Comics en tueur en série crédible. D’abord, sa condition particulière quand il rit de façon incontrôlable est un élément génial. On apprécie aussi que Arthur Fleck soit un humoriste, mais qui n’engendre que le mépris.
Joker est un film à part, une oeuvre formidable qu’on doit approcher avec ouverture, malgré son brutalité. Le rire de Joaquin Phoenix peut vous hanter longtemps.
Vocabulaire:
L’ennemi juré – nemesis
Lancinant – nagging
Une oeuvre formidable – a great piece of work
Des frissons – chills
Un tueur en série – serial killer
Méprisé – despised